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| CNRI - Selon le département social des Moudjahidine du peuple d’Iran (OMPI) à l’intérieur du pays, un groupe de prisonniers politiques, comptant notamment ceux d’Evine, de Gohardacht à Karadj et de la ville d’Oroumieh (nord-ouest) ont entamé une grève de la faim le 30 avril et la poursuivent ce 1er mai en solidarité avec les travailleurs et les enseignants. Ils la poursuivront jusqu’à la fin de la journée des enseignants, le 2 mai. De même jusqu’à présent plus d’une cinquantaine d’étudiants de l’université libre de Chahr-e-Kord ont également entamé une grève de la faim en solidarité avec les travailleurs. Des dizaines de travailleurs militants, se trouvent actuellement dans les prisons du régime pour avoir protesté contre la répression et la politique anti-salariale des mollahs et pour avoir revendiqué un minimum de droits. Figurent parmi eux Mansour Ossanlou et Ebrahim Madadi, respectivement président et vice-président du syndicats des conducteurs de bus de Téhéran et de sa banlieue, Ali Nejati, président du syndicat des travailleurs de la canne à sucre de l’usine Haft-Tapeh de la ville de Chouch, Jalil Ahmadi, Fereïdoun Nikoufar, Ghorban Alipour, Mohammad Heidary, des ouvriers de cette usine, Afchine Chams employé des usines Aligoudarz, Saleh Nemati et Mohammad Takab, des ouvriers de la ville de Sanandaj. La Résistance iranienne appelle le Secrétaire général de l’ONU, l’Organisation internationale du Travail et l’ensemble des syndicats de travailleurs dans le monde à défendre le droits des trvailleurs iranien. Elle les appelle aussi à condamner la politique répressive et anti-salariale des mollahs et à prendre d’urgence des mesures contraignantes pour faire libérer l’ensemble des prisonniers politiques, notamment les militants ouvriers. Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne |
